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Deux personnages burlesques, l’un féminin, l’autre masculin, viennent raconter une histoire. La même histoire. Une histoire commune aux hommes. Ces deux personnages font tout pareillement, ou presque. S’en insurgent, s’en accommodent, collaborent ou tentent de se saboter, se consentent une entraide, ou se squattent.

 

L’une des histoires se déroule au Maroc, l’autre dans le Tarn, mais elles auraient pu tout aussi bien se dérouler en Chine, ou en Inde ou ailleurs…  

 

Deux pères de familles ont chacun 7 filles, quel que soit le sexe du nouveau-né à venir, ce sera un garçon.

 

Gros plan sur les mensonges, les habiletés, les légendes.

 

Traité dans le registre comique ce spectacle titille un tronc commun… celui de l’humanité ?

S’y posent les questions de l’identité sous ses formes multiples et les artefacts qu’elles engendrent. S’y révèlent d’étranges similitudes au sein des différences fortes qui semblent dissocier les cultures.

 

Les deux comédiens-auteurs reviennent par instant à la poésie, la sobriété du conteur, signalent leur inspiration librement puisée dans les deux romans de Tahar Ben Jelloun, l’Enfant de sable et la Nuit sacrée.

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